 
 |
|||||||||
 |
|||||||||
| |||||||||
  sommaire |
||
|
du seul s'enfoncer
|
||
|
matin
|
||
|
|
||
| maintenant ça va aller mieux maintenant maintenant maintenant c'est arrivé ça a craqué c'est arrivé maintenant ça va aller mieux il vaut mieux vaut mieux pas d'heure et puis demain demain qu'est-ce qu'est-ce que ce sera je verrais verrais tout tout autrement ce soir bu fait raide niqué et dem demain demain quoi on on verra quoi demain demain demain c'est quoi demain demain c'est toujours un autre jour autre chose un autre temps demain c'est toujours complètement autre chose d'aujourd'hui à demain c'est parfois comme des semaines ou des mois c'est parfois plus que comme un jour qui passe c'est parfois la sensation d'années la sensation qu'il s'est passé autant que dans des années maintenant ça va aller mieux encore un peu du repos du repos encore il m'en faudrait encore ce qui fait que je craque ce qui fait que je m'engraine ce qui fait que certaines pensées roulent et s'enroulent et ne peuvent plus être arrêtées ce qui fait que tout est senti comme dans un nœud comme par un nœud que tout est en tension qu'il y a une tension là au fond une tension que je ne peux apaiser que je ne sais pas apaiser ce qui fait que je ne peux plus sortir que d'en parler ne m'en fait plus sortir mais me laisse au fond au fond à creuser me fait être bloqué coincé la tête s'est mise à tourner la tête s'est mise dans mon corps à s'emballer les pensées dans mon corps il ne faut pas que j'ai peur il ne faut pas que j'ai peur continuer continuer continuer oui ça je ne sais faire que ça continuer continuer continuer je n’ai jamais su m’arrêter mais peur c’est quoi ça peur c'est immense j'en sais rien si c'est immense mais parler parler c'est immense quoi voilà et nous voilà reparti encore encore c'est quoi quoi où vers parler je sais pas ce que ça dit évidemment je parle pas de peut-être peut-être tout tout ça tout tout tout ça j’arrive pas pas à mettre tout ça j’arrive pas à mettre tout ça dedans et pourtant les les choses là ont l’air l’air si lègères le le mur le mur derrière derrière derrière soi qu’on s’invente je sais pas le mur le mur mur qu’on s’invente je sais pas qu’on se se se devant soi qu’on se pose pose toujours toujours toujours dans dans quoi dans quelle mesure je je je quoi des gens face à leur solitude qu’on soit pas forcément des nomades nomades de de mongolie mais je sais pas quand je sais pas la la routine ton dernier soir je je sais pas je décro décroche un côté grave un énorme respect je je sais pas j’a j’arrive pas à suivre à suivre suivre je je sais sais pas arrive arrive arrive arrive pas pas pas à su sui suivre ça dépend comment comment l'intérieur seul s'enfoncer du texte seul la noyade s'enfoncer suis sorti ce matin grand froid devant dehors grand froid vent dehors sur quais marche dehors dehors dehors dehors dehors |
||
| septembre 2002 réécrit avril et août 2003 nouveaux morceaux oct 2003 augmenté en novembre 2005 |
||
 |
||