fin sur une ligne d’horizon. celle de la vallée des merveilles, un soir d’été, au couchant, plein ouest. la nuit arrive, reste une ligne, une seule, entre le noir et le bleu-vert. une ligne, naturelle, mais « saisie » ne devient-elle pas autre qu’elle-même ? une trace, une écriture ? un début d’écriture ? |